Grand fan de zombies que je suis, c'est avec une certaine impatience que j'attendais la sortie de 28 years later. Et je n'ai pas été déçu !

Aussi loin que je me souvienne, mon premier film de zombies était La nuit des morts-vivants de George A. Romero que j’ai vu vers l’âge de 7 ans (non, mes parents n’étaient pas irresponsables, mais j’ai des grandes sœurs beaucoup plus âgées que moi !). J’avais eu la peur de ma vie, tiraillé entre l'envie de regarder et de me cacher les yeux avec un coussin !

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Ce n’est que quelques années plus tard que j’ai commencé à regarder à nouveau à explorer ce genre si particulier. Evil Dead, Brain dead, Bad taste, etc. Que l’on apprécie ou non, les films de « zombies » offrent une panoplie de sous-genres dans cette catégorie de film. Il existe des films qui sont vraiment-là pour terrifier (Rec, Resident Evil...), d’autres pour rire (Shaun of the dead, Zombieland…) d’autres plus « what the f… » (Zombie beaver, Black sheep…). Mais tous traitent le même sujet : un virus capable de transformer un mort en être vivant assoiffé de chair humaine.

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Mais ce qui m’intéresse aujourd’hui, c’est de vous parler de 28 years later. Alert spoil : c’est une pure merveille du genre ! Si vous aimez être tendu du début à la fin, si vous n’avez pas de problèmes de tension et que l’angoisse ne vous fait pas peur, ne chercher plus !

Danny Boyle réalise un film centré sur l’histoire, avec moins de zombies, mais toujours aussi gore. Déconseillé aux moins de 16 ans en raison de ses scènes violentes et sa nudité (une première dans la « trilogie »), le réalisateur nous plonge sur une île confinée et isolée du reste du monde. Ces décors sauvages nous offrent des prises de vue époustouflantes où l’angoisse est omniprésente, ce qui contraste avec les scènes d’action ultra-violentes. Au-delà du scénario, le réalisateur pose ici ses questionnements sur post-Covid et le post-Brexit : les relations humaines, l’isolement, le confinement des protagonistes.

Sylvain

Responsable logistique

Films

  • 28 Years Later

    Cela fait près de trente ans que le Virus de la Fureur s’est échappé d’un laboratoire d’armement biologique. Alors qu’un confinement très strict a été mis en place, certains ont trouvé le moyen de survivre parmi les personnes…

    Genre
    Horreur
    Durée
    1H55
    28 years later