La bonne épouse

Tenir son foyer et se plier au devoir conjugal sans moufter : c'est ce qu'enseigne avec ardeur Paulette Van Der Beck dans son école ménagère. Ses certitudes vacillent quand elle se retrouve veuve et ruinée. Est-ce le retour de son premier amour ou le vent de liberté de mai 68 ? Et si la bonne épouse devenait une femme libre ?

Ce qu’en dit la presse : 

• Provost livre donc une épopée légère au féminisme inoffensif et offre quelques scènes d’anthologie rares et une évolution plus romanesque du personnage de Juliette Binoche, d’abord corseté par le maintien de la bonne épouse qui se doit d’être “parfaite” et finit par porter le pantalon et embrasser sa liberté.        [Moustique]
• Martin Provost nous rappelle qu’on revient de loin, dans cette nouvelle déclaration d’amour aux femmes en forme de comédie rétro et colorée. Binoche et Moreau s’en donnent à cœur joie dans leurs rôles à contre-emploi de femmes pas-encore-libérées. [L’Avenir]